La concurrence…en yoga ?

Si vous tapez « cours/stages de yoga » sur un moteur de recherche en 2017, vous tomberez sans surprise sur des choix… »en masse » comme disent nos amis Québécois (que j’adore). Pour l’élève curieux, difficile au démarrage de savoir par où commencer. Quel prof choisir ? Celui dont la photo est la plus lumineuse sur son flyer ? Celle qui propose la technique la plus précise pour réussir un équilibre sur les mains et le pied derrière la tête ? Celui dont les textes nous font le plus réfléchir ? Celle qui a l’air sympa et accessible alors que d’autres n’inspirent vraiment pas confiance ? Pas évident.

Un yoga presque parfait

Les plus grandes réflexions ont souvent lieu à l’occasion d’actes de la vie apparemment banals. Lorsque j’ai créé la page Facebook de Yoga Shala par exemple, il fallait faire un choix entre différents qualificatifs : « Centre de fitness », « Espace bien-être »… Tous ces termes me laissant fortement perplexe, j’ai finalement opté pour « Communauté » qui me semblait correspondre le plus à l’orientation que je souhaitais donner : nous sommes simplement des personnes réunies par une pratique…certains ont étudié un peu plus et apprennent aux autres. Point. Je n’avais alors pas vraiment porté mon attention sur les différentes options de la page, jusqu’à ce qu’une élève poste un avis facebook à l’aide d’étoiles.

L’impact de l’énergie d’un(e) prof de yoga sur ses élèves

À mesure que les années passent et que la pratique quotidienne du yoga s’affine, le regard et les autres sens s’aiguisent. Aujourd’hui, je vais vous parler de la manière dontl’énergie d’un(e) enseignant de yoga se répercute sur ses élèves. Si vous démarrez dans cette discipline, il est probable que ça ne fasse pas écho chez vous. Ça ne veut pas dire que vous n’êtes pas impacté(e), mais simplement vous ne le sentez pas (encore). Vous y reviendrez plus tard, chaque chose en son temps…

Pourquoi « Merci » plutôt que « Fuck you »

Ce titre ayant visiblement retenu votre attention, aujourd’hui le cuistot vous propose au menu un sujet qui en concernera plus d’un(e) : que faire de sa colère au pays magique des bisounours ?

S’ouvrir à l’inconfort

J’ai longuement hésité avant de partager avec vous cet article car il est un peu plus intime que les autres. Et puis je me suis dit que si, car l’idée d’un partage d’expériences est justement que chacun y trouvera quelque chose qui lui parle au-delà d’une histoire personnelle qui n’a finalement que peu d’intérêt en elle-même. Peut-être rencontrera-t-il finalement votre propre expérience ?

Faites-vous (vraiment) du yoga

Cet article est le fruit d’observations réelles, concrètes, réalisées depuis ma position d’élève et d’enseignante de yoga. La démarche éclairante du yoga invite à envisager d’un œil le plus neuf possible des phénomènes habituels auquel plus personne ne fait attention. Il y a vraiment beaucoup, beaucoup à apprendre. Celui qui voit est riche de ses observations et d’une masse d’informations à côté desquelles il passait à côté avant. Je me questionne, et j’espère que vous aussi ?

Travailler avec les autres

Cet article vous intéressera plus particulièrement si vous êtes enseignant(e) de yoga ou même soignant (médecin, psychologue, kinésithérapeute, ostéopathe, infirmier(e)…), ou tout simplement si vous êtes amené(e)s à travailler quotidiennement pour/avec des personnes. Il est né des retours que j’ai fréquemment concernant la condition actuelle de « prof de yoga » (métier à la mode, vous avez dû le remarquer). Je n’ai certainement pas la prétention de parler au nom de tous, mais de ce que j’en entends par échos très réguliers, beaucoup sont fatigués, voire pour certains carrément au bout du rouleau (burn-out).

Et la fête dans tout ça ?

Depuis quelques années que j’ai décidé d’intégrer la pratique ancestrale du yoga à ma vie de femme occidentale du début du 21ème siècle, je dois reconnaître qu’elle ne cesse de m’éclairer à tous les niveaux. Au passage, j’insiste vraiment sur cet aspect décisionnel, rien de valable ne vient jamais frapper à notre porte sans intention ni sans efforts soutenus. Tout cela se faisant généralement en silence, dans la solitude et avec 3 bouts de ficelle au départ, lorsque cela finit par donner quelques effets après quelques années (ex : être plus joyeux dans sa vie, plus serein), certains invoquent alors la chance, sans voir la sueur et les choix parfois difficiles derrière…Vous avez remarqué aussi ?

I’m still standing yeah yeah yeah

Avant de démarrer cette lecture, dites-vous bien quelque chose : je n’ai rien à vendre et je ne cherche à vous convaincre de rien. Cet article est simplement un partage d’expérience et je vous souhaite de faire votre chemin. Comme me le disait une personne chère récemment : « en fait dans la vie, on fait ce qu’on doit faire avec les gens qui le veulent bien ». Effectivement. Aujourd’hui je vais donc vous parler des raisons pour lesquelles je pratique l’ashtanga yoga quotidiennement et de la manière dont cela a profondément impacté ma vie : je me tiens debout et je compte bien le rester.

J’aime les femmes. C’est dit.

À vue de nez, je dirais qu’il m’aura fallu environ 28 ans pour commencer à apprécier « un peu » la compagnie des femmes. Il m’aura ensuite fallu 3 années supplémentaires pour commencer à percevoir les spécificités de l’énergie féminine qui m’anime et à m’aligner dessus, à les assumer concrètement. Mieux vaut tard que jamais me direz vous, et vous aurez raison.